Honduras - Copan, 3° pointe du triangle maya

La tête encore pleine de fumées de cierges bénis et de gouttes d'eau bénite, on traverse la frontière en milieu de matinée, pour entrer dans le terrible territoire du Honduras, qualifié par la CIA comme le pays le plus dangereux du monde, en raison de son taux d'homicide vertigineux dans certaines villes, comme la tristement célèbre San Pedro Sula, ville natale de notre grand ami Fernando, prof de maths collègue de Thomas.

Pero es sobre todo la falta de tiempo que nos hizo decidir que nuestro trayecto de regreso pasaria por El Salvador (par ver un pueblito mas!), sin pasar por la capital hondureña...

Arrivés dans la petite ville de Copan Ruinas, développée comme dépendance du site archéologique, qui par sa célébrité et son calme assure un flux constant de touristes tout au long de l'année (on recroise une guest house avec nos amis les mini-bus directs venant d'Antigua ou Tikal), on prend un peu d'énergie avant de rejoindre le site.

pupusas de desayuno...

Copan como mayor sitio turistico de Honduras, se sirve de su poscion dominante para tratar de sacar un buen provecho de los turistas de paso, asi que la entrada completa al sitio cuesta no menos de 38 dolares, sitio, mas tuneles y museo...

En fin de voyage, on n'opte que pour la visite du site, car on a surtout envie de grand air, de calme et de moments allongés sur le gazon à profiter de la vue des pyramides...

Après le passage à Tikal, dont les décorations des structures ou l'état des stèles n'est pas le fort, après la visite de Quirigua où les structures sont quasiment inexistantes mais les stèles valent surtout par la taille et le détail du travail des artisans, découvrir Copan est comme arriver au sommet de l'art maya dans la région, car cette fois-ci, on peut observer à la fois un grand nombre de détails et reliefs sur les structures en bon état de conservation, mais c'est surtout la qualité inégalable des stèles, la profondeur des reliefs qui fait que l'on est quasiment face à des sculptures en 3 dimensions et non plus des stèles dont un relief aurait été dégagé avec talent.

Llegando al medio dia con un tiempo un poco nublado, la caminata hasta la zona central de las ruinas es agradable, dentro de un gran parque arboleado y con muchos aras, pero por suerte, con el paso del dia, saldra un precioso sol, que nos permitira apreciar perfectamente lo hermoso de las piedras...

détails des stèles

Au niveau des structures, on peut noter particulièrement le terrain de jeu de balle, el juego de pelota ritual, qui était le lieu d'un jeu répandu dans toute l'aire Mésoamériquaine, jeu qui se jouait entre deux équipes, qui se renvoyaient une balle de caoutchouc avec les articulations du corps (hanche, coudes, genoux...) sans avoir le droit d'utiliser ni les mains, ni les pieds (autrement dit, les Mayas avaient déjà dépassés la simplicité de nos sports actuels comme le football ou le basketball!).

La idea es que la pelota representa el sol, y el paso de izquiera a derecha seria el paso del sol del dia a la noche.

Se habla de la posibilidad que los vencedores del partido, fuesen sacrificados para nutrir los dioses con sangre, pero no se sabe exactamente cuales eran las circunstancias.

video en espagnol sur le juego de pelota

A quelques pas, on trouve une autre structure d'exception, le grand escalier de 63 marches, qui comporte un texte en glyphe maya sur ses contremarches, faisant de cette oeuvre d'art le plus long texte maya connu à ce jour.

grand escalier et détails

Dernière structure qui nous plaît particulièrement, un peu au dessus du jeu de paume, un beau pavillon flanqué d'un superbe ara de pierre.

ara de pierre

On poursuit notre belle promenade, de place en place, de temple en pyramide, avec peu de visiteurs et donc un grand calme, un site qui respire la simplicité, moins mystérieux que Tikal, mais tout aussi impressionnant...

Hubieramos podido enseñar miles fotos mas de piedras y de esculturas...

Mais en résumé, on gardera de notre visite le sentiment de quiétude, la douceur du soleil allongés parmis les pyramides et les structures, à l'ombre des stèles et des ceibas...

Petits instantanés d'une élégante visiteuse et d'un ara rougeoyant...

Y el dia se termina tranquilamente con una cervez salva vida en los altos del pueblo de Copan ruinas, tras nuestro lindo paseo por la piedras pulidas por los hombres entre los siglos V° y X° de nuestra era...

Prochaine étape, un peu de route pour rejoindre le Salvador, par la frontière de La Palma.