Belize - South of the country

Après avoir été plutôt emballé par notre rencontre avec l'ancienne capitale, on voit aussi que le temps passe, le mois de janvier est déjà bien entamé, on prend donc la route du sud, avec quelques idées de stops en chemin...

El primer lugar que nos llamaba la atencion, es el Parque Blue Hole, del mismo nombre que el famoso lugar de buceo, pero en este caso, es un cenote pequeño un poco al sur de Belmopan, donde llegamos en bus...

Les cenotes, ces puits naturels dans des zones calcaires, ont dans la région, servis de lieux de culte pour les populations mésoaméricaines, vénérés comme accès au monde des morts, tout comme les grottes qu'on trouve en grand nombre dans toute la péninsule du Yucatan...

instant de fraîcheur...

Si ce cenote est aujourd'hui relativement petit, il permet de se tremper facilement et il constitue un bel arrêt en ces journées de chaleur intense...

y ademas el parque tiene tambien unas grotas bastante extensas, que no se pueden visitar por no ser aun totalmente investigadas...

grotte d'une belle profondeur, avec une douce rivière...

Simpathique halte sur la route du sud, on a quand même une très grosse envie de se jeter dans les eaux turquoises du pays... on reprend donc le premier bus qui file vers Dangringa, noeud de communication de la zoné méridionale du Belize...

un brin de stop pour le fun...car ça ne marche pas vraiment dans la zone

Arrivé en fin d'après-midi dans la station de bus de Dangringa, port un peu assoupi, une longue rue bordée de maison en bois, avec de larges familles afro caribéenes qui regardent passer le temps en écoutant du reggae ou du merengue...

Nos sabemos bien si nos queremos quedar en la ciudad, irnos directamente hacia una playa del sur, o tratar de cruzar hacia el cayo Tobacco... las averiguaciones, aunque la ciudad no sea exactamente un lugar paradisiaco, nos hara optar por quedarnos por la noche, para ir a hacer un poco de buceo...

amanecer en la playa Dangringa...

Un tipo con lancha accepta de llevarnos a pasar el dia en el cayo, donde no queremos quedarnos porque parece ser un lugar muy diminuto, con demasiado alojamiento...

Et on se rendra compte que l'île n'est vraiment qu'un bout de corail!

La traversée est superbe, on passe par l'île des oiseaux, on admire d'autres cayos encore plus minuscules qui ne sont souvent occupés que par un seul hôtel!

Mais dès le pied posé dans le sable de l'île, on est presque au paradis...

Decidimos ir a tirarnos en la arena del otro lado de la isla, mirando hacia el este, o sea la plena mar, caminando unos 25 metros mas o menos!

L'île formée de corail, continue à se consolider par les strombes accumulés par les pêcheurs!

Pero no solo vinimos a quedarnos tirados en la arena, porque la principal razon de visitar un cayo es de no quedarse encima y de visitar el entorno marino... coral, peces, tortugas, langostas, miles de modos de maravillarse!

Et on y retournera pas moins de trois fois, pour une heure, trois quart d'heures et un dernier coup plus court, mais tout aussi jouissif!

Cindy admire pour la première fois de sa vie in situ un couple de poissons lions...

poisson lion, terreur des Caraïbes! Dont le venin peut parfois être mortel...

Et l'île est aussi un super lieu pour se poser et simplement regarder les gens vivre... on croise trois jeunes en arrivant sur l'île, les ayant vu partir en pirogue lorsque nous étions la tête dans l'eau, lors de leur retour, on se dit qu'il va y avoir quelque chose d'intéressant...

Y la cosecha de los jovenes parece buena: langosta, conchas, recoleccion que venderan a los turistas que deciden quedarse para pasar la noche en las cabañas de la isla...

Lo mas entretenido es de ver que el ciclo natural no se termina por esta extraccion humana, pues varios son los animales, casi como en un zoologico, que saben que cuando estos tres jovenes vuelven, se estara de francachela! on fera bombance!

du dépeçage de la langouste au repas des raies et des pélicans...

Le soleil se calme un peu, l'après-midi arrive, le temps passe, on a eu une journée bien remplie, on en a plein la tête, ce saut de puce valait vraiment le détour...

Volvemos a Dangringa, otra noche en el lugar, comiendo en la calle, charlando con gente, tiempo detenido porque cuando los turistas se fueron a los cayos o al aeropuerto...

Comemos mexicano, hablando con hondureño, charlando con un gringo local, riendo con los niños garifuñas...

Le lendemain, on reprend un bus de plus, qui sera un peu longuet, car la ville de Placencia, (port de plaisance idéal, comme son nom l'indique!) se trouve au fin fond de 20 kms de route impeccable, passant de marinas en villas high-tech et luxueuses!

Mauvaise pioche, car le village est un nid pour touriste, plutôt friqué, arrivant directement en avion depuis les Etats-Unis, donc les restaux se voulant raffinés vous le font sentir sur la douloureuse, le moindre hôtel se la joue Grand Duc, et on comprend mieux pourquoi la majorité des backpackers ne font que traverser cette terre qui ponctionne tant le voyageur!

Pero encontramos un buen lugar para una rica comida caribeña...

Cindy, unos minutos antes de irse del Cayo Tabacco y el dia siguiente, en Placencia, con su baracuda al ajillo....

Mais le lendemain matin, tôt, car nous comptons repasser en milieu de journée au Guatemala, on se promène seuls sur l'immense plage et l'on ressent à fond le charme du lieu, avec de belles vagues, une ambiance apaisée, propre à la rêverie, à la lecture, au repos, mais on se sent aussi dans un niche dorée par si vivante et humaine que ça...

No seamos exagerados, las fotos tambien traducen la dulzura del lugar...

soleil doux du matin, qui donne un colori unique à tout et notamment au vert des cocotiers et des palmiers...

Aprovechamos el primer restaurante abierto, para un rato de tranquilidad, lectura y escritura de nuestros cuadernos de viaje...

La matinée se termine par une traversée des marécages, puis de la mangrove jusqu'à Mango creek, où l'on attrape le bus qui descend vers Punta Gorda, lieu de départ des lanchas vers le Guatemala et son port de Livingston...

On dit au revoir au Belize, après un court séjour qui nous a pourtant intéressé, amusé, fait avancé un pas de plus dans notre connaissance et notre compréhension du monde afro-caribéen...